Négociations musclées avec Elsevier au coeur de la science ouverte
Bernard Larrouturou, DGRI, a ouvert les premières journées nationales de la science ouverte, en expliquant que « La science ouverte nous concerne tous, chercheurs, laboratoires, établissements, dans l’activité de recherche et d’évaluation de la recherche. » En particulier, les établissements doivent « se doter d’une politique de science ouverte » et il est indispensable « que la France soit un acteur sur la scène internationale, dans les lieux où se définiront les règles et les services de la science ouverte. »
S’agissant de l’ouverture des données de recherche, il souligne que l’objectif est de les ouvrir le plus possible tout en les protégeant lorsqu’il le faut. selon Le principe de partage résumé par l’acronyme FAIR (faciles à trouver, accessibles, interopérables, réutilisables). Il appelle que « dès 2019, ce sera un élément fort dans tous les appels de l’ANR » et précise que cette ouverture doit s’accompagner d’une organisation à construire avec des administrateurs de données au ministère, dans les établissements et les infrastructures de support de ces données sur la base d’un travail en réseau pour aider les communautés à s’en servir. Des services sont à développer en ce sens.
Il conclue la première journée nationale de la science ouverte en rappelant le troisième axe du plan national appelant à la « mobilisation des acteurs ». « La science ouverte nous concerne tous, chercheurs, laboratoires, établissements, dans l’activité de recherche et d’évaluation de la recherche. » En particulier, les établissements doivent « se doter d’une politique de science ouverte » et il est indispensable « que la France soit un acteur sur la scène internationale, dans les lieux où se définiront « les règles et les services de la science ouverte. »