[Portrait Inist] Manon Delorme
Manon Delorme est arrivée à l’Inist le 1er février pour un stage qui se terminera le 28 juillet prochain.
Elle effectue son stage sous la responsabilité de Jean-François Nominé dans le service Traduction. Découvrons son portrait !
Peux-tu nous raconter ton parcours ?
D’origine nancéenne, j’ai obtenu mon baccalauréat scientifique en 2018. N’ayant pas été sélectionnée dans la formation artistique que je souhaitais intégrer, j’ai commencé une licence Langue, Littérature et Civilisation Étrangère en anglais à la Faculté de Lettres de Nancy « en attendant ». Cette formation m’a au final beaucoup plu et m’a fait découvrir un domaine qui me fascinait depuis bien longtemps : la traduction. Étant sensible à l’importance de la recherche scientifique, surtout depuis le début de la pandémie de COVID-19, j’ai tout de même cherché à ancrer mes compétences dans le contexte actuel. C’est en partie cette réflexion qui m’a poussée à me tourner vers la traduction scientifique et technique. J’ai ainsi pu rejoindre le Master LEA Traductions Scientifiques et Techniques de l’Université de Haute-Alsace avec comme langues de travail le français, l’anglais et l’espagnol.
Quelles sont tes expériences professionnelles antérieures ?
Il se trouve que j’ai effectué un stage d’observation en traduction à l’Inist pendant ma L3 auprès de Jean-François Nominé. Ce sont les personnes que j’ai pu rencontrer pendant ce stage qui m’ont incitée à rejoindre ma formation actuelle et à rejoindre de nouveau l’Inist, cette fois-ci pour un stage de six mois. J’ai également réalisé un stage de deux mois dans le laboratoire L2CM de la Faculté de Pharmacie de Nancy-Brabois, pour lequel j’ai traduit des documents de contenu pharmaceutique. J’ai une expérience dans l’enseignement puisque je donne des cours particuliers d’anglais auprès du service de soutien scolaire Acadomia.
Quelles missions t’attendent à l’Inist ?
J’ai intégré le service Traduction en tant que stagiaire pour me consacrer à la post-édition de textes scientifiques et techniques. Mon objectif sera d’observer les performances de solutions de traduction automatique comme DeepL par la pratique de la post-édition à partir ces logiciels. Je serai amenée à collaborer avec les spécialistes en traitement automatique du langage de l’Inist ainsi qu’avec les terminologues pour affiner et enrichir mes travaux.
Si j’étais un langage… je serais la langue des signes
- Si j’étais un objet… je serais un crayon
- Si j’étais un outil partagé… je serais Zoom
- Si j’étais un son… je serais le bruit du tonnerre
- Si j’étais un moyen de transport… je serais un avion
- Si j’étais un gâteau… je serais un gâteau de courge
- Si j’étais un personnage… je serais Maitre Yoda
- Si j’étais un instrument de musique… je serais une guitare
- Si j’étais un moyen de communication… je serais une lettre
- Si j’étais une source d’énergie… je serais l’électricité