Infos Inist

Confinement #1 : une vie, quand bien même réduite, sur le campus Jean Zay

Romain, Anthony, Guillaume et Thierry gardiens du site

Ils sont 4, qui pour certains depuis 1989, sont présents au quotidien sur le site Inist, devenu Campus Jean Zay depuis janvier 2019, sur lequel ils exercent une veille vigilante.

Et dans cette période extra-ordinaire, chacun dès le premier jour déclaré du confinement, pendant toute la période liée à la crise sanitaire, à tour de rôle et en équipe, a assuré, garanti et préservé la sécurité des lieux, des locaux et des biens jour et nuit.

Réguliers, patients, attentifs, ils se sont relayés pour accueillir les quelques personnels et personnes autorisés ou astreints à se rendre à leur poste de travail.

Mais qui sont-elles/ils et pourquoi faire ?

  • Au Service Central du Traitement de la Dépense (SCTD) en charge du traitement des factures fournisseurs du CNRS, mesdames Benoît et Kroos se sont rendues tous les jours à leur bureau, résidente fidèle du site au bâtiment Apollo pour assurer le paiement des factures et ainsi contribuer à ne pas interrompre l’activité économique des laboratoires.
  • Des salariés de la société ATALIAN ont réalisé quelques interventions pour l’entretien, la maintenance et les équipements du Campus.
  • Des personnels des équipes du système d’information  DSI de l’Inist pour équiper, adapter le parc informatique selon les besoins du télétravail et ainsi accompagner la mise en œuvre et le déploiement du service à distance en urgence.

L’ensemble des entités accueillies sur le Campus comme le CIL, Biovalley, Juggle et SAYENS sont demeurées en télétravail intégral.

Contexte et conditions climatiques de la période de confinement 

La période de confinement s’est caractérisée par un climat de forte chaleur ce qui a généré des contraintes dans l’entretien des bâtiments, avec l’aération des bureaux en corrélation avec l’équipe de ménage réduite à  2 à 3 personnes et notamment Denis le chef des équipes.

Merci à tous celles et ceux qui ont œuvré et contribué pour conserver les « outils  » de travail en état. Ils n’ont pas pu sauver toutes les plantes mais ont fait ce qu’ils ont pu.