Olha, un départ en NOEMI et en rime
Olha a préparé, un poème en rime, pour retracer le chemin qui l’a mené jusqu’à l’Inist et la poursuite de ses activités professionnelles vers les vignobles, mais je n’en dis pas plus, à vous de lire.
Un univers CNRS existait depuis longtemps,
que j’ai pu intégrer en arrivant
pour faire mon stage en 2009 à Grenoble ;
Attendez, bientôt je vous parlerai des vignobles…
Un stage, une thèse et le ski alpin
avec les sciences cognitives ont semé le pepin
d’attache avec le milieu du laboratoire
que j’ai du quitter huit ans plus tard de façon provisoire.
Pendant huit ans j’ai navigué
entre de nombreux échanges multidisciplinaires ;
parfois même fatiguée
par les dégustations des meilleurs plats culinaires,
tout ça dans un milieu multiculturel
qui comprend bien pourtant ce langage universel.
Le monde de la recherche impressionne par sa richesse,
sa profondeur et son ouverture
qui parfois nous rappelle une saveur fondante de la poire duchesse
quand elle est juste mature.
***
L’étape suivante professionnelle
est passée par le monde industriel,
terminée au concours CNRS
aussi vite qu’il paraisse.
***
Ainsi, il y a plus de deux ans j’ai du quitter Grenoble
Attendez, attendez, je ne suis pas encore dans les vignobles …
D’abord je suis passée à Nancy
pour découvrir des vrais Lorrains ici,
la place Stanislas, les mirabelles, les Vosges,
les pâtés et les quiches, en buvant de la sauge.
Le retour au CNRS et son univers multiforme
m’a présenté l’INIST et ses plateformes
au sein du monde de l’IST
qui m’était inconnu jusque là
mais bien indispensable
tout comme les pauses thé
avec un très bon chocolat !
voilà 🙂
Dans ce contexte,
j’ai travaillé sur la fouille de texte
pour proposer des solutions
vers de nouvelles évolutions.
Merci aux collègues pour leur aide précieuse
qui m’ont permis d’approfondir les connaissances
dont je suis preneuse.
Je vais poursuivre ce travail avec beaucoup de courage
tout en prenant un nouveau virage.
Voilà, on s’approche des vignobles et des vins aquitains,
dont je vais vous parler à l’instant.
Mais d’abord revenons au pepin semé
qui pousse sur l’attache et me fait retourner
vers un milieu si souvent souvenu
bref, dans une laboratoire je suis revenue.
Dans l’univers des connaissances infinies
cette fois je vais découvrir l’économie
aux alentours de Bordeaux
avec tous ses cadeaux :
la randonnée, le surf et la baignade
accompagnés par des balades
dans les paysages océaniques ;
je crois que je suis en pleines pensées romantiques …
Je rejoins le laboratoire GREThA
qui étudie l’économie dans tous ses états
en s’appuyant sur les pratiques de fouille du texte
l’analyse peut intégrer les nouveaux contextes.
Reconnu pour ses travaux en fouille des brevets
GREThA dispose de solutions bien éprouvées
qui s’appuient sur l’économétrie
et sont proposées à l’industrie
via la plateforme Via-Inno
et ses jobs originaux
en intelligence technologique
et en études stratégiques.
GREThA se trouve alors à un carrefour
entre la recherche et ses discours,
quatre masters en économie,
le monde de l’industrie,
les acteurs territoriaux
vers des progrès sociétaux.
Malgré toute la démarche aventureuse
Les perspectives me semblent savoureuses :
Saint-Emilion, Sauternes, Graves,
avec le truffe, le foie-gras et le magret de canard.
Dans les vignobles du coin
on trouve les bonnes bouteilles de vin.
Je vous demande de pardonner mes erreurs de français
ce ne serait pas aussi drôle si tout était parfait.
Je tiens aux collègues rencontrés jusqu’ici
et garde de bons souvenirs de Nancy
je laisse une adresse pour rester en contact
notez bien les caractères exacts.
En suivant l’appel de ma nature
en route pour la nouvelle aventure 🙂
Olha / olganagornaya@gmail.com
Olha tient à remercier tout particulièrement Catherine Vernisson pour son aide précieuse lors de la rédaction de cet article.